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Archive for the ‘Hi-Tech’ Category

Buzz

January 1st, 2009 No comments

En ce début d’année un Buzz fait rage : Sony Vs. Dell

En effet, Dell annonce la sortie de l’Adamo qui serait un Mac Book Air killer. Ce qui est à peu près sur c’est qu’il aura un DisplayPort.

Mais Sony, annonce également un portable sur lequel peu de détail circule.

C’est sans compter sur Apple qui ne devrait pas présenter de Portable à la MacWorldExpo mais un iPhone Nano et/ou un iMac et/ou un Mac Mini.
Je penche plus sur l’annonce d’un Mac Mini que le reste.

Une chose est sur, Apple reste, pour le moment, maitre du Buzz puis que l’on ne sais pas ce qui va être annoncé 🙂
Nous verons dans les semaines qui viennent qui à fait le plus de bruit avec sa nouveauté de ce début 2009.

Je profite également de ce premier billet de l’année pour vous souhaiter la meilleur année 2009 possible.

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SSD

December 8th, 2008 No comments

Je le sais, vous avez eu la flemme de lire le lien vers l’article d’AnandTech dans mon dernier billet. Je vous propose donc un petit résumé des choses à savoir sur les SSD.

Quels sont les avantages des SSD ?

Le temps d’accès aux données
Lors de la lecture d’un fichier sur un disque classique, ce dernier doit effectuer des mouvements mécaniques pour placer la tête de lecture à l’endroit où sont les données sur le disque. Il y a donc 2 type de mouvement : Celui de la tête de lecture sur la bonne piste du plateau et celui du plateau qui tourne. (Voir ici)
Si vous lisez un gros fichier, le temps de placement de la tête est négligeable car si votre fichier n’est pas fragmenté la tête va se placer une fois puis le débit (le temps de lecture de votre fichier) va être limité par la vitesse de rotation du plateau (généralement 7200 tours/minute).
Si vous lisez des petits fichiers (ou un gros fichier très fragmenté) le temps de placement de la tête est grand par rapport au temps de lecture du fichier.

Pour faire simple, la lecture (de la demande à la fin de lecture) de gros fichiers est conditionné par la vitesse de rotation et la lecture de petits fichiers est conditionné par la vitesse de placement de la tête (temps d’accès). Si vous lisez une multitude de petit fichiers votre disque passe une grande partie de son temps à ne rien lire car la tête est en déplacement. Ces dernières années les constructeurs ont tentés de réduire ce problème en utilisant la technologie Native Command Queuing (NCQ) qui optimise les déplacements de la tête de lecture pour réduire le temps d’accès lorsque vous essayé de lire plein de fichiers en même temps.

Comme je vous l’ai dis lors de mon dernier billet, dans la vie de tous les jours votre disque dur lit plein de fichiers en même temps. NCQ ou pas, votre disque n’arrête donc pas de déplacement sa tête de lecture. Pour augmenter les performances il faut donc réduire ce temps d’accès. Les SDD n’ont pas de partie mécanique et le temps d’accès est environ de 10 à 100 (selon les types de SSD) fois plus rapide qu’un disque classique.

Le silence
L’absence de pièce mécanique rend les disques SSD inaudible ce qui est plus qu’appréciable.

La chaleur
La principale source de dégagement thermique d’un disque est due à la rotation des plateaux. Un SSD à donc un dégagement thermique bien plus faible.

Ce qui change avec les SSD ?

La consommation électrique
Peut-être plus faible avec un disque SSD qu’avec un disque à plateau. Cependant à l’heure actuel certain disque à plateau pour ordinateur portable consomme moins que certain SSD (notamment ceux qui sont les plus performant). La marge de progression dans ce domaine est cependant plus grande pour les SSD.

La casse
La durée de vie d’un disque à plateau est assez faible car les pièces mécaniques s’usent. Ils sont également sensibles aux chocs. Un disque SSD est presque insensible au choc. Sa durée de vie est conditionnée par la les puces mémoires qu’il utilise. Le fait est qu’un SSD sais ou s’il a réussi ou non à écrire les données qu’il devait écrire. Son état S.M.A.R.T. est donc bien plus révélateur que celui des disques à plateau. Si votre SSD “meurt” car vous avez utilisé trop de cycle d’écriture, il deviendra read-only. Donc il n’y a pas de perte de donnée.

La fragmentation
La fragmentation n’a pas de sens sur un SSD. Faire une défragmentation n’apportait pas de performance supplémentaire mais réduirait sa durée de vie.

Quels sont les inconvenants des SSD ?

Les torchons et les serviettes
Les disques SSD sont beaucoup plus chers que les disques à plateau. Cela conduit à l’apparition de SSD bas de gamme ayant des performances et une durée de vie faible. Il va falloir un certain temps avec que le marché soit homogène en terme de qualité de disque et que les prix de disque correct baisse.

SLC et MLC
Derrière ces noms barbares se cache 2 types de cellules mémoires. Les MLC sont peu cher et ont une durée de vie 10 fois moindre que les SLC qui sont plus cher et plus rapide. (voir ici)
Il n’y a pas de différence fondamentale entre les deux si ce n’est qu’une cellule MLC stocke 2 bits la ou une SLC stocke 1 bit. La MLC est donc plus sensible aux erreurs et demande donc plus de précaution ce qui la ralentie “artificiellement” par rapport a la SLC.

Il ne fait pas s’affoler plus que ça au sujet des cellules mémoire qui peuvent “casser”, sur les disques à plateaux il arrive aussi que certaine partie du disque ne fonctionne plus. Heureusement pour nous il y a dans les disques de la place supplémentaire qui prend le relais en cas de problème.

Le temps qui passe
Je n’ai trouvé de test correcte traitant de ce problème mais logiquement les performance d’un SSD devraient décroitre au file du temps. Tant qu’il y a de la place sur le disque les nouvelles données sont écrites dans des emplacements libres, une fois tous les emplacements libre utilisés, si vous voulez écrire le moindre octet, il faudrait réécrire jusqu’à 512Ko. Il serait bon d’avoir un test visant à regarder le comportement des différent modèle de SSD dans ce cas.

Quelles sont les différences entre les SSD ?

Le type de cellules mémoire
SLC ou MLC, j’en ai déjà parlé plus haut.

Le facteur d’amplification d’écriture
Dernière ce nom barbare ce cache quelque chose de simple. Si vous devez écrire 4Ko de données sur votre SSD, ce dernier ne va pas forcement écrire 4Ko peut être amené a en écrire 512ko (soit 100 fois plus !). Quand vous savez que plus vous écrivez, plus vous abimé votre disque, ce facteur est très important. Intel semble être, pour le moment, le seul fabriquant à avoir des algorithmes permettant de réduire au minimum la valeur de ce facteur.
Au final un disque MLC avec un facteur faible peut avoir une durée de vie supérieure à un disque SLC avec un facteur élevé.

En conclusion ?

Les disques MLC vous offriront à moindre cout des performances satisfaisantes pour une utilisation “bureautique” classique. Un disque SLC reste préférable si vous avez besoin de débit important (montage vidéo, retouche de photo, etc.)

Alors que faire ? Il semble que la tendance soit d’utiliser un disque MLC comme disque de démarrage et un disque classic pour stocker vos fichiers volumineux (videos/photos). Ceci Permet d’augmenter significativement, à moindre cout, la réactivité de votre machine et de conserver vos fichiers volumineux sur des disques à bas cout avec les performances que vous connaissez.

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Sauvez la planète ! Achetez des SSD !

December 3rd, 2008 No comments

Je vous l’accorde, ce titre est un peu racoleur, mais l’écologie le développement durable font vendre et avec la crise on se raccroche à ce qu’on peut pour allécher le client lecteur..

Un billet « 2 en 1 » donc (pour le coup c’est un peu passé de mode comme argument marketing, quoi que… sur les produits pour lave-vaisselles…).
Nous commencerons donc avec un argument marketing à la mode pour finir sur les SSD avec une liaison toute trouvée entre les deux (qui cache un semblant de troll) que je vous laisse découvrir un peu plus loin dans ce long billet.

Vous l’avez sans doute remarqué, depuis un certain temps il ne faut plus changer de produit car il est mieux en terme de fonctionnalités ou de performances mais car il est “écologique”.
Ainsi, il ne faut plus changer votre téléviseur pour avoir un écran plat qui prend moins de place et une meilleurs image mais car un LCD consomme moins d’énergie. Apple (entre autre) vente depuis plusieurs mois à chaque nouvelle sortie de matériel qui ne contient pas tel ou tel matériel polluant. De même les écrans à rétro-éclairage LED sont moins polluant car il n’y a plus de cathode froide. Et je ne parle pas des alimentations de PC qui sont toutes plus « Green » les unes que les autres.
Avec la “crise” et les États-Unis qui vont enfin considérer le réchauffement de la planète il y a de fortes chances à parier que le mouvement ne fasse que s’amplifier.

Je trouve que de plus en plus d’applications sont lentes mais sans faire monter le CPU à 100% ce qui peut paraitre étrange. Pas besoin d’acheter le dernier ordinateur à la mode “0 pollution” avec son processeur 2 fois plus rapide et qui n’aidera pas votre vieux PC à se recycler…

Dans beaucoup de cas ceci est dû à l’accès aux fichiers qui dans les applications modernes (type programmation objet, non je ne vise pas Java du tout) est bien moins optimisé que dans les anciennes applications. Cette modernité fait qu’un ordinateur passe de plus en plus de temps à lire et écrire des petits fichiers. Ceci augmente donc le nombre d’entrée/sortie (I/O, le nombre de demande de fichier) avec le disque dur.
Dommage pour vous car votre disque dur déteste quand le nombre d’I/O augmente car à chaque nouvelle demande de fichier le disque doit faire des mouvements mécaniques qui sont lents et dont la vitesse ne peu plus trop être augmentée pour des raisons d’échauffement et de fiabilité. Résultat votre application attend le disque dur, et pour vous c’est lent !

Heureusement, la solution existe ! Les disques SSD qui eux tolèrent un nombre d’I/O très élévé car ils n’ont pas de pièce mécanique. Enfin il y a SSD et SSD et je vous invite à lire cette page (page 8 pour les I/O, mais lisez toutes les pages) qui explique bien le fonctionnement de ces disques et montre bien que dans le monde des SSD, il y a des torchons et des serviettes.

Tous cela pour vous dire que dans un avenir proche les SSD seront incontournables comme disque principal (celui sur lequel sont votre OS et vos applications) pour gagner en rapidité.

Moralité, ne mettez pas votre PC à la casse, achetez lui un SSD.

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IPv6

November 16th, 2008 No comments

Ces derniers temps on entend de plus en plus parler d’IPv6, notamment en France.
On peux voir à cela plusieurs explication :

  • Le déploiement d’IPv6 par Free;
  • Un plan d’action de l’Europe, assez ambitieux, en faveur d’IPv6 (je vous recommande la lecture de ce document de la commission européenne qui est très bien documenté);
  • Une récente présentation de Google sur des statistiques d’accès a Google en IPv6.

On peux donc lire en ce moment pas mal d’articles sur IPv6. Malheureusement même si les informations de base, tel que le nombre d’IPv6 qui existent, sont justes ; on peut aussi lire beaucoup de bêtises (comme le fait qu’IPv6 introduit des problèmes de sécurité.) ! Je vous propose donc un petit tour d’IPv6.

Pourquoi doit-on passer rapidement à IPv6 ?

Car IPv4 ne comporte que 4 294 967 296 adresses IP, dont seulement environ 3 730 millions utilisables sur internet. Donc moins de 4 milliards d’IP pour plus de 6 milliards de personnes. Il y a forcement un problème, d’autant plus que de nos jours, un téléphone portable à une IP, votre ordinateur à une IP, etc. Demain votre frigo aura une IP.

En réalité, nous manquons déjà d’IPv4 mais des mécanismes comme le NAT permettent de ne faire utiliser à plusieurs équipements qu’une seule et même IPv4 sur Internet.

Les estimations s’accordent sur le fait que l’IANA, qui attribue des grands blocs d’IPv4 au RIR, qui eux attribuent des petits blocs aux fournisseurs d’accès, aura attribué tous les blocs d’IPv4 début 2011.
Les RIR (il y en a, grossièrement, un par continent), ne pourront plus attribuer de bloc entre début 2012 et fin 2012.

L’IPv6 à des adresses 4 fois plus longues d’IPv4, ce qui donne 3,4 x 10^38 IP, dont environ 4,2 x 10^37 utilisables sur Internet. De quoi voir venir et donner une IPv6 à votre pot de Nutella.

Si cette pénurie d’IPv4 est un des points principaux qui poussent à l’adoption rapide d’IPv6 ce dernier règle aussi quelques défauts d’IPv4 et offre certaines nouvelles fonctionnalités techniques.

Qui utilise IPv6 ?

Pour le moment, très peu de monde. Une étude récente de Google, un site assez incontournable pour que ces statistique soient fiables, permet de dire que peu de monde utilise IPv6. La France se distingue, grâce à Free, qui est un des rares fournisseurs d’accès pour particuliers qui fournit des IPv6 à ses clients. D’une manière général l’IPv6 est utilisé sur les réseaux universitaires et par les “geek”.

Les statistiques de trafic IPv6 du point d’échange d’Amsterdam (AMS-IX) permettent de constater une augmentation conséquente du trafic IPv6 depuis avril.

Quels sont les freins du déploiement d’IPv6 ?

Il y a 4 points principaux :

  • Peu de fournisseurs d’accès fournissent des IPv6 à leurs clients. Ceci n’empêche pas d’utiliser IPv6 pour autant grâce à des mécanismes comme 6to4, ISATAP ou Teredo.
  • Les sites web disponibles en IPv6 sont rares, il y a donc peu de contenu disponible en IPv6. Les utilisateurs qui disposent d’IPv6 ne peuvent donc l’utiliser que rarement.
    Il y a 3 raisons à cela :
  • Peu d’hébergeurs offrent une connectivité IPv6
  • Les entreprises ne voient pas l’intérêt de dépenser de l’argent pour fournir du service en IPv6
  • Dans certain cas où l’IPv6 des postes utilisateurs sont mal configurés (~27% des utilisateurs d’IPv6 selon Google), proposer de l’IPv6 va ralentir la connexion de la personne au site (le temps de repasser en IPv4) voire même empêcher l’accès au site en question (si l’application ne repasse pas en IPv4). C’est pour cela que généralement les sites disponibles en IPv6 le sont à l’adresse ipv6.domaine.tld.
  • Les équipements réseau de niveau 2 et firewall qui permettent de sécuriser correctement l’accès à un réseau IPv6 ne sont pas vraiment prêts.
  • Les administrateurs réseau connaissant IPv6 se résument à une poignée de personnes.

Il y a encore quelques années, le non support d’IPv6 par les applications était un frein majeur. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, car les applications les plus courantes prennent correctement en charge IPv6.

Quels sont les nouveautés d’IPv6 ?

Outre un plus grand nombre d’adresse IP, IPv6 apporte principalement les améliorations suivantes :

  • Une configuration automatique des adresses grâce à un mécanisme intégré dans ICMPv6
  • Des adresses, non routées, locales au niveau 2.
  • Le support d’IPSEC nativement. Cela permet de gèrer la sécurité de la transmission de l’information à plus bas niveau.
  • IPv6 permet nativement la mobilité (MIPv6/NEMO). Cela veut dire que l’on peut changer de réseau sans pour autant perdre les connexions en cours en annonçant son changement d’IP. On peut aussi continuer d’utiliser son IP habituelle. Ce mécanisme est très complexe et peu d’implémentations existent pour le moment
  • IPv6 réduit l’effort nécessaire aux équipements réseaux pour transmettre les données. Il n’y a notamment plus de checksum à recalculer, ni de fragmentation à faire.
  • IPv6 permet des paquets de taille plus grande qu’IPv4. Si cela n’a pas d’impact sur la majorité des réseaux (Ethernet), cela améliore les performances de certain réseaux à haute performance.
  • IPv6 permet d’avoir des adresses anycast. Ceci permet d’avoir plusieurs machines avec la même IP. Cela introduit des notions de haute disponibilité/load balancing nativement.

Quels sont les principaux problèmes d’IPv6 ?

  • La configuration automatique des adresses IPv6 ne permet pas de configurer automatiquement les DNS. De ce fait, une machine en IPv6 seule, doit soit renseigner manuellement ses DNS ; soit utiliser DHCPv6 pour configurer les DNS. Des travaux sont en cours pour pouvoir attribuer les DNS automatiquement. (voir RFC4339 et RFC5006)
  • IPv6 soulève des questions de vie privée, en effet, l’auto configuration se base sur l’adresse MAC de la machine ce qui permet de tracer assez facilement une machine physique en fonction de son IP, et donc un utilisateur.
  • On trouve certaines erreurs de configuration dues à les négligences du maintien opérationnel d’IPv6 (DNS qui pointe sur des IP qui n’existent plus par exemple) ou à des restes de tests.

Nouveaux usages liés à IPv6

Revenons à notre pot de Nutella. Il est probable que dans un futur proche, des puces type RFID intègrent IPv6. En effet il est possible de faire fonctionner IPv6 avec seulement 11Ko de code. De telles puces sur des produits courants comme les produits alimentaires offrent des possibilités telle que l’inventaire automatique dans une grande surface, ou chez vous, pour savoir ce qui vous manque et donc quoi commander. Les adesses locales (non routées, donc pas sur Internet) sont bien adaptés à ce genre d’usage.

SHIM6 est un moyen, encore à l’étude, qui permettrait à un site multihomé (ayant plusieurs fournisseurs d’accès internet) de conserver les connexions en cours lors de la bascule d’un fournisseur vers un autre.

Plus d’informations ?

Pour en savoir plus je vous invite à lire ce livre qui est une référence dans son domaine, cet article et ce document de la Direction centrale de la sécurité des systèmes d’information du Secrétariat Général de la Défense Nationale.

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Chrome

September 7th, 2008 No comments

Un petit post sur Chome, histoire de propager encore un peu plus le buzz.

La sortie de Chrome tombe bien, mon dernier post concernait google… Voici enfin le future composant principal de la Google Box. Il fallait bien un navigateur pour utiliser la Google Box et on aurait assez mal vu la Google Box faire tourner autre chose qu’un produit Google !

Je ne vais pas revenir sur les aspects technologiques de chrome, vous avez déjà dû lire ca un peu partout, si ce n’es pas le cas lisez http://www.google.com/googlebooks/chrome/index.html pour tout savoir.

Lendemain de la sortie de Chrome, j’arrive au boulot. Je fonce télécharger Chrome. Je lance l’installateur et… ca ne fonctionne pas, il ne trouve pas internet. Probablement un problème avec le proxy. Je tente ma chance avec un second ordinateur ou pire… l’installeur ne se lance pas quand je l’exécute.

J’aurai donc dû attendre ce Week-End pour enfin me décider d’installer Chrome dans une VM afin de ne pas mourir idiot.

Et je dois bien avouer que quand il fonctionne, il fonctionne plutôt très bien. La vitesse est assez bluffante, l’interface conviviale. Rien à dire si ce n’est l’utilisation mémoire due au découpage des processus.

Il va sans doute encore falloir de long mois avant que Google ne corrige les bugs et sorte des versions Mac OS X et Linux.

Je vous invite enfin à suivre le Blog du développement de Chromium

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